Un rêve devient réalité grâce au yoga de la fertilité
Dans mon article, je vous racontais ma nouvelle expérience en clinique de fertilité et comment le yoga de la fertilité avait été mon principal allié pour commencer un nouveau parcours de PMA (Procréation Médicalement Assistée) détendue, confiante et sereine.
Je vous ai laissé en suspense sur le verdict de notre gynécologue suite aux résultats des tests pour évaluer notre fertilité.
Dans cet article, je vous raconte la suite et la fin () de cette douce expérience en PMA.
Pour lire l’article précédent : le yoga en PMA, un allié pour augmenter ses chances de tomber enceinte, c’est ICI!
Une tout autre expérience en clinique grâce au yoga de la fertilité
Pendant un mois, je suis allée fréquemment faire des tests à la clinique de fertilité. Je me sentais bien. Le yoga de la fertilité m’a accompagné presque quotidiennement durant cette période. Il m’a aidé à me sentir plus forte, confiante, apaisée, ancrée… c’était tout le contraire de ma première expérience en PMA (que je te raconte ici)!
Et ça, je l’observe aussi chez mes élèves de Yoga & Fertilité. Après quelques semaines de pratique de yoga de la fertilité, elles vivent complètement différemment leur parcours de PMA. Il y a beaucoup plus de légèreté, de calme et d’espoir en elles. C’est magnifique de les voir évoluer ! Et ça peut faire vraiment toute la différence dans le succès d’un protocole médical .
Le verdict de la gynéco
Une fois les tests terminés, mon conjoint et moi rencontrons à nouveau la gynécologue.
Son verdict, non surprenant pour nous, est qu’il n’y a pas un problème spécifique qui explique notre infertilité. On peut par contre penser que 2 « petites anomalies » combinées, une chez moi et une chez mon conjoint, expliqueraient nos difficultés de fertilité :
- Mon cycle étant court, la progestérone pourrait ne pas avoir assez de temps pour atteindre un taux suffisamment haut avant l’ovulation, ce qui affecterait la qualité de mon endomètre lors de l’implantation de l’embryon.
- La qualité du sperme de mon conjoint est légèrement sous la moyenne. Ses spermatozoïdes sont un peu paresseux .
La gynécologue affirme que ce sont de légères anomalies et que nous ne savons pas s’ils sont vraiment la cause de notre infertilité.
Maintenant, on fait quoi?
Elle nous recommande de tenter, pour le prochain cycle, une insémination artificielle avec sperme de mon conjoint (IAC) accompagnée d’une légère stimulation hormonale pour augmenter ma progestérone.
Je me sens hyper soulagée qu’elle nous ne propose pas une FIV (Fécondation In-Vitro) comme notre premier gynécologue nous l’avait recommandé (je t’en parle ici)!
Par contre, l’idée de prendre des hormones artificielles m’inquiète quelque peu. J’appréhende les effets sur ma santé. Mais elle me rassure que ce sera de faibles doses qui engendrent rarement d’effets secondaires. Je me sens soulagée et je ressens l’envie d’essayer l’IAC telle qu’elle nous la propose. Elle a toute notre confiance !
Elle nous prévient cependant qu’une première IAC est une façon de tester les réactions du corps face aux traitements. Les chances que ça fonctionne du premier coup sont faibles. Mais cela permet de mieux ajuster le protocole suivant en connaissant mieux les effets sur le corps.
C’est ok pour nous ! Nous sommes heureux de pouvoir essayer l’IAC, une technique qui ne sera pas envahissante physiquement pour mon corps. Nous repartons vers la maison motivés et curieux de ce qui s’en vient.
Une fois les tests terminés, mon conjoint et moi rencontrons à nouveau la gynécologue.
Son verdict, non surprenant pour nous, est qu’il n’y a pas un problème spécifique qui explique notre infertilité. On peut par contre penser que 2 « petites anomalies » combinées, une chez moi et une chez mon conjoint, expliqueraient nos difficultés de fertilité :
- Mon cycle étant court, la progestérone pourrait ne pas avoir assez de temps pour atteindre un taux suffisamment haut avant l’ovulation, ce qui affecterait la qualité de mon endomètre lors de l’implantation de l’embryon.
- La qualité du sperme de mon conjoint est légèrement sous la moyenne. Ses spermatozoïdes sont un peu paresseux .
La gynécologue affirme que ce sont de légères anomalies et que nous ne savons pas s’ils sont vraiment la cause de notre infertilité.
Maintenant, on fait quoi?
Elle nous recommande de tenter, pour le prochain cycle, une insémination artificielle avec sperme de mon conjoint (IAC) accompagnée d’une légère stimulation hormonale pour augmenter ma progestérone.
Je me sens hyper soulagée qu’elle nous ne propose pas une FIV (Fécondation In-Vitro) comme notre premier gynécologue nous l’avait recommandé (je t’en parle ici)!
Par contre, l’idée de prendre des hormones artificielles m’inquiète quelque peu. J’appréhende les effets sur ma santé. Mais elle me rassure que ce sera de faibles doses qui engendrent rarement d’effets secondaires. Je me sens soulagée et je ressens l’envie d’essayer l’IAC telle qu’elle nous la propose. Elle a toute notre confiance !
Elle nous prévient cependant qu’une première IAC est une façon de tester les réactions du corps face aux traitements. Les chances que ça fonctionne du premier coup sont faibles. Mais cela permet de mieux ajuster le protocole suivant en connaissant mieux les effets sur le corps.
C’est ok pour nous ! Nous sommes heureux de pouvoir essayer l’IAC, une technique qui ne sera pas envahissante physiquement pour mon corps. Nous repartons vers la maison motivés et curieux de ce qui s’en vient.
Une fois les tests terminés, mon conjoint et moi rencontrons à nouveau la gynécologue.
Son verdict, non surprenant pour nous, est qu’il n’y a pas un problème spécifique qui explique notre infertilité. On peut par contre penser que 2 « petites anomalies » combinées, une chez moi et une chez mon conjoint, expliqueraient nos difficultés de fertilité :
- Mon cycle étant court, la progestérone pourrait ne pas avoir assez de temps pour atteindre un taux suffisamment haut avant l’ovulation, ce qui affecterait la qualité de mon endomètre lors de l’implantation de l’embryon.
- La qualité du sperme de mon conjoint est légèrement sous la moyenne. Ses spermatozoïdes sont un peu paresseux .
La gynécologue affirme que ce sont de légères anomalies et que nous ne savons pas s’ils sont vraiment la cause de notre infertilité.
Maintenant, on fait quoi?
Elle nous recommande de tenter, pour le prochain cycle, une insémination artificielle avec sperme de mon conjoint (IAC) accompagnée d’une légère stimulation hormonale pour augmenter ma progestérone.
Je me sens hyper soulagée qu’elle nous ne propose pas une FIV (Fécondation In-Vitro) comme notre premier gynécologue nous l’avait recommandé (je t’en parle ici)!
Par contre, l’idée de prendre des hormones artificielles m’inquiète quelque peu. J’appréhende les effets sur ma santé. Mais elle me rassure que ce sera de faibles doses qui engendrent rarement d’effets secondaires. Je me sens soulagée et je ressens l’envie d’essayer l’IAC telle qu’elle nous la propose. Elle a toute notre confiance !
Elle nous prévient cependant qu’une première IAC est une façon de tester les réactions du corps face aux traitements. Les chances que ça fonctionne du premier coup sont faibles. Mais cela permet de mieux ajuster le protocole suivant en connaissant mieux les effets sur le corps.
C’est ok pour nous ! Nous sommes heureux de pouvoir essayer l’IAC, une technique qui ne sera pas envahissante physiquement pour mon corps. Nous repartons vers la maison motivés et curieux de ce qui s’en vient.
Les semaines suivantes : du yoga de la fertilité, une insémination et encore du yoga!
Ma routine de yoga accompagne quotidiennement mon protocole PMA. Je me prépare mentalement, émotionnellement et psychologiquement pour l’insémination. Je ne sens effectivement aucun effet secondaire en première moitié de cycle. Je prends quotidiennement du Letrozole à 2,5mg pour soutenir hormonalement ma phase préovulatoire.
La date de l’IAC est prévue pour le 8 avril 2022 !!!
Le 8 avril, je me fais donc inséminer le sperme de mon amoureux . En laboratoire, les techniciens ont préalablement lavé et trié le sperme afin de conserver seulement les spermatozoïdes vigoureux et motivés à faire le chemin vers l’ovocyte .
Toujours dans cette position assise si rassurante et élégante chez le gynéco (), une seringue d’une longueur inimaginable est insérée jusque de mon utérus. Tout se passe en 3 secondes! L’insémination est terminée .
Je reçois une dose d’Ovitrelle qui devrait déclencher mon ovulation dans les 12-24 heures suivantes.
Alors ça y est, c’est fait! Nous sommes de retour à la maison pour 14 jours à patienter.
Pour les 2 semaines à venir, je prends quotidiennement du Duphaston 10mg pour soutenir mon corps en progestérone.
L’attente est beaucoup moins challengente que je l’aurais imaginé
Vous ne seras pas surprise si je vous dis que le yoga de la fertilité m’accompagne durant ces 2 semaines .
Je poursuis mon quotidien et je m’accompagne durant ces 2 semaines d’attente comme j’accompagne mes élèves de Yoga & Fertilité, soit dans la douceur, le soin de soi, le mouvement doux, la connexion au souffle, les exercices de visualisation et la connexion à mon utérus.
Honnêtement, je me sens vraiment bien!
L’arrivée des SPM
À environ DPO 10 (10 Jours Après Ovulation), je commence à ressentir des symptômes prémenstruels typiques. Légères crampes au bas-ventre, seins gonflés et sensibles, émotions en montagne russe.
J’interprète que mon corps se prépare l’arrivée de mes menstruations et que l’insémination n’a pas fonctionné. Et je suis ok. La gynécologue nous avait prévenus que les chances étaient faibles que ça fonctionne du premier coup et j’étais prête aux 2 scénarios.
Certes je suis déçue, mais beaucoup moins que plusieurs autres fois dans les dernières années lorsque je sentais mes règles arriver. Mon conjoint semble plus déçu et surpris que moi.
Et j’attends…
Mais à DPO 15, je commence à douter. Les SPM ressemblent beaucoup aux premiers symptômes de la grossesse. J’ai un jour de retard, ce qui est très rare. Mais comme j’ai pris des hormones, cela peut être normal non?!
Et je n’ai aucunement envie de revoir un test de grossesse négatif. Je préfère attendre et donner le temps à mon corps de saigner à son rythme.
Finalement, 2 jours plus tard, l’envie de savoir est devenue vraiment grande! J’achète 2 tests de grossesse. Le niveau de stress monte en flèche!
Je fais mon pipi et je pars le chronomètre.
Mais à DPO 15, je commence à douter. Les SPM ressemblent beaucoup aux premiers symptômes de la grossesse. J’ai un jour de retard, ce qui est très rare. Mais comme j’ai pris des hormones, cela peut être normal non?!
Et je n’ai aucunement envie de revoir un test de grossesse négatif. Je préfère attendre et donner le temps à mon corps de saigner à son rythme.
Finalement, 2 jours plus tard, l’envie de savoir est devenue vraiment grande! J’achète 2 tests de grossesse. Le niveau de stress monte en flèche!
Je fais mon pipi et je pars le chronomètre.
Les 5 minutes les plus longues de ma vie!
J’essaie de calmer mes pensées, mais c’est difficile. Je range alors un peu l’appartement, caresse mon chien, lave la vaisselle… l’attente est longue!
L’alarme sonne. Je prends une profonde inspiration et expiration. Et j’aperçois ces 2 petites barres sur chacun des tests. Ces 2 petites barres que j’ai tant attendues, tant désirées. Elles sont là. C’est positif !
L’émotion du moment est forte! Nous sommes heureux, en pleurs, sous le choc. Un des plus beaux moments de notre vie .
Quand ça marche, enfin!
Je sais mon corps était prêt à accueillir un bébé. Je l’ai chouchouté pendant une grosse année. J’en ai pris soin comme la prunelle de mes yeux. Tout ce que j’ai mis en place avec le yoga de la fertilité, la nutrition, l’hygiène de vie, la gestion des émotions et du stress, à optimiser mon corps à accueillir une grossesse.
Nous avions besoin d’un petit coup de pouce médical pour que la magie se fasse .
Ce n’est donc pas un miracle parce que j’ai travaillé fort en changeant beaucoup de choses dans ma vie pour que ça marche. La médecine a complété ce qui nous manquait pour y arriver. Je suis heureuse d’avoir fait ces changements, eu confiance en cette 2e clinique de fertilité et vécu tout ce parcours dans lequel j’ai grandement évolué. Tout cela me permet maintenant de vivre une grossesse en santé.
Merci à moi, à mon conjoint, à notre gynécologue et à la vie. Je suis très très reconnaissante de ce que je vis . Je vous le souhaite tellement du plus profond de mon cœur .
J’accompagne tous les jours des femmes en parcours naturel ou en PMA qui souhaitent tomber enceintes et se préparer à la maternité. Alors, si tu as envie de prendre soin de toi et de ta fertilité, d’améliorer ton hygiène de vie, de te sentir mieux dans ton corps et de vivre ton parcours avec plus de légèreté et de sérénité, rejoins mon abonnement Yoga & Fertilité. Nous travaillerons ensemble à optimiser tes chances de tomber enceinte.
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